Retour d’expérience sur la tarière thermique 52 cm3 de chez Timberpro.
Merci à Jean-Luc, un de nos clients du Val d’Oise qui nous a envoyé un long témoignage sur la tarière achetée au mois d’avril dernier, qu’il en soit remercié :
Voici son histoire. Pour des raisons d’anonymat nous avons évidemment modifié le nom des personnes.
« Bonjour et tout d’abord merci à comparatif-tariere.com, j’étais un peu perdu avant de prendre ma décision d’achat et vos précieux conseils ont orienté mon choix.
Je suis propriétaire d’une maison de campagne héritée de mes parents dans le département du Val d’Oise au nord-ouest de Pontoise. Le terrain de ma maison était à côté d’une pâture qui est devenue constructible il y a deux ans. Quelle ne fut pas notre surprise l’été dernier de voir sortir de terre un lotissement de maisons modernes sur ce terrain où nous avions l’habitude d’observer les vaches !
Je devais mettre une palissade pour nous séparer de nos nouveaux voisins.
Je n’ai plus 20 ans et je ne me voyais pas faire tous les trous à la main pour planter tous les poteaux. Je suis allé au magasin de matériel agricole et j’ai regardé le prix des tarières à moteur, je suis vite reparti, ce n’est pas dans mes moyens. Il y avait bien des tarières à main à des prix plus abordables mais ce n’est plus de mon âge. Pour utiliser une tarière manuelle il faut s’appeler Hercule !
J’aurais pu en louer une, mais ce n’est pas pratique car je ne savais pas combien de temps dureraient mes trous, et puis j’aime bien avoir mon matériel. Mon fils qui s’y connaît sur internet m’a conseillé de faire une recherche sur mon PC et nous avons retenu votre site. Le prix est très différent, on passe de 1000 euros à moins de 200 euros, sans compter que chez vous les mèches sont incluses. Je me suis dit que pour ce prix-là, de toute façon je ne prenais pas beaucoup de risque…
J’ai donc commandé et quelques jours plus tard je recevais la machine.
Sur vos conseils j’ai pris le modèle que l’on peut utiliser à deux, avec un moteur de 50 cm3.
Côté emballage pas de soucis.
Rien ne manquait, la tarière, les trois mèches, une notice (pas terrible les instructions !) un petit bidon doseur, quelques outils.Mon fils qui fait de la motocross m’a préparé le mélange d’essence. J’ai accroché la mèche de 100, mis l’essence dans le réservoir, position starter et deux coups de ficelles, broum ! la machine démarrait.
Bon, ça fait du bruit, si vous avez mal aux oreilles, je vous conseille des bouchons.
Quelques coups d’accélérateur et la mèche se met à tourner assez lentement et s’enfonce doucement dans le sol. Au début je n’osais pas aller trop vite, je ne voulais pas faire trop chauffer. Je peux vous dire qu’après quelques trous j’y allais à fond, en 1 minute et la mèche de la tarière était totalement enfoncée dans le sol. Faire des trous de 80 cm à cette vitesse, si l’avait fallu les faire à la main, bonjour le mal de dos !
Après j’ai trouvé que la mèche de 150 c’était mieux, pas celle de 200 qui pour moi est trop grosse. Ce qui est bien aussi c’est que dès que le trou est fait c’est très facile de l’agrandir avec quelques coups de pelles !
Des fois je suis tombé sur des racines ou des gros cailloux, ça tire un peu dans les bras mais rien de méchant, je remonte la machine et je recommence. En fait la machine s’arrête de tourner quand ça bloque, j’ai jamais eu peur de tourner avec la tarière.
J’en ai reparlé avec un paysan de mon coin, il m’a dit que j’avais raison d’avoir pris une 50 cm3, car pour une plus grosse il faut être deux ou très costaud !
Un dernier truc qui peut servir, quand vous posez la tarière sur le sol, attention de ne pas mettre le carbu en contact avec la terre, il a fallu que je nettoie car j’avais peur d’avoir rentré des saletés, mais plus de peur que de mal.
Merci encore, j’ai fait mes quarante trous en deux jours et j’ai mis mes poteaux 2 jours après ! »